martes, 4 de febrero de 2014

Février en Bolivie et culture française

Bonjour de nouveau,

Déjà il a passé beaucoup de temps des que j´ai écrit en français pour dernière fois. Le "pourquoi" est franchement très simple d´expliquer.

En mars 2013 je demenageais a un village du département Santa Cruz en Bolivie. Je lassais "ma Catalogne", mes amis, les espagnoles, les catalans, des bons copains de toute l´Europe.
L´Amerique du Sud est un monde different. Dans le bureau, on parle anglais, avec un niveau un peu plus haut qu´en Espagne. Et aussi on parle espagnol.

Mais autres langues, comme l´allemand et le français, on ne trouve pas ici. Les appareils et la technologie, on (doît) achete(r) aux Etats-Unis.
Bosser avec les entreprises americaines n´est pas le plus facil. Quand tu appelles, par commencer on demande le nº d´article. Sans cette information, la probabilité qu´ils te peuvent envoyer un offre est très basse.

Bien sûr on peut dire qu´ils sont paresseux, c´est a dire, ils n´ont pas d´envie a travailler, ou bien, ils ne veulent pas brûler leurs doigts en faisant un offre de materiaux que ton client ne va pas accepter.
En tout cas, les clients mêmes si ils ne donnent pas nº de pièce de reference, cela implique que on veut savoir simplement ça qu´on peut trouver "sur la marche" et on n´acheterá jamais. Quand t´as du bonheur et tu sais exactement ça que tu dois offrir ton client, la chance qu´il va acheter est plus haute. La presentation doît être jolie, avec des images et avec une marge que depend du prix. Et... toujours il y a des pirates dans le quai, tes concurrents qui font les mêmes affaires.

Si la Bolivie etait dans l´Europe, probablement tout serait organisé mieux ici. Ou non, car l´economie en Europe souffre beaucoup depuis 5 ans. Les banques et la politique ont âbimé la confiance des consommateurs en gâchant l´argent des impôts en conneries. Un petit exemple est l´aeroport de Castellon de la Plana en Espagne. Mes amis en Espagne savent que la situation est delicat.

Bolivie souffre maintenant du mauvais temps, car il pleut, il pleut beaucoup et dans quelques départments, ça n´arrete pas.
Dans le nord et l´ouest il y en a des villages inondés, grâce a planification mauvaise d´infrastructure. Le pays a besoin d´ameliorer ça et aussi, on doît se culturiser un peu plus (voyez ma petite histoire de la rockola).

En parlant des rockolas, le dernier samedi j´allais avec 3 copains du taf dans un bar rockola a côté du 5ième anneau. Nous sommes assis, la meuf du bar a mis la bouteille Paceña sur la table, et nous avons bu pendant une heure lorsque nous avons chanté un peu de Guns & Roses.

Aujourd´hui, une de mes colleagues a la melancholie et elle ecoute Bon Jovi, Guns & Roses et les Scorpions. Eh bien, particulièrement je deteste Bon Jovi, je pense que c´est rock pour meufs, mais bon, tout le monde a des goûts differents.

France et la musique, sa culture en generale, j´aime. Depuis vingt ans, juste après le Coupe du Monde, gagné par Bresil après de penalties, je partais pour dernière fois avec mes frères et mes parents au département 04, les Alpes d´Haute Provence. Dans le camping, j´ecoutais ma cassette des Ramones (c´etait mon epoque de punk et grunge). En fait, les années qui terminent en quatre, je suis venu en France, comme dans le ´84 de petit mec.
Les vacances en France sont toujours un "joie de vivre". T´arrives, tu montes le caravan et ton voisin t´offre une canette de bière.
Il y avaient des nuits qu´on achetait des cartons Kronenbourg (dans un hyper comme le centre E. Leclerc par exemple) et sur la pelouse du camping on buvait avec barbaq et chansons.
Dans le ´94, avec mon frère O. j´avais un groupe de colleagues, des jeunes de 15-18 ans, et notre papan nous donnait quelques fois cent francs. De suite nous partions avec notre groupe au village et (si j´ai vu bien sur Google) nous prenions des bières dans le café des Arts.



Et aussi nous visitions la citadelle de Sisteron.

Autres recommandations en France: Strasbourg, Sarrebourg, Grenoble, Lyon, Avignon, Nîmes, Orange, la Dordogne, le pays basque française (dép. 64), Perpignan, Narbonne, Carcassonne, Toulouse. Et bien sûr, Paris, ouai!

Dernier exemple; Mai 2001. Je visitais des amis a Sarrebruck, et il y avait une fête franco allemande. Avant d´aller là, nous avons promené sur la frontière "Goldene Bremm"





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